« La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c’est un poème ; c’est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c’est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c’est de la nostalgie, c’est du rêve. La Rue de la Sardine, c’est le chaos. Chaos de fer, d’étain, de rouille, de bouts de bois, de ronces, d’herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d’épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu’un, « ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains » ; « ce quelqu’un eût-il regardé par l’autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : ce sont des saints, des anges et des martyrs », et ce serait revenu au même. »

Rue de la Sardine / John Steinbeck

GÉNÉPI



Fiction - Court métrage - En post-production


Scenario et réalisation :
Ferdinand Garceau 


1998. À la recherche de fleurs de génépi, deux cousines d’une vingtaine d’années grimpent sur les hauteurs surplombant
le Plateau d’Assy, se rémorant leurs souvenirs d’enfances. A travers une déambulation dans le sanatorium abandonné du
coin, elles vont aussi faire face aux vestiges de la mémoire commune, aujourd’hui menacée. 


Avec : Louisiane Gouverneur, Solène Rigot, Maurin Ollès
Assistante réalisateur : Ninon Trehin-Lalanne
Image : Alberto Ploquin
Lumières : Brice Mousnier-Vescovali
Montage image : David Kajman
Prise de son : Arnold Zeilig
Perche : Clara Malus
Décors / Accessoires : Lola Lextrait et Juliette Framorando
Régie / cantine : Lucas Palen, Alice Nouvel, Zacharie Zeilig