« La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c’est un poème ; c’est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c’est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c’est de la nostalgie, c’est du rêve. La Rue de la Sardine, c’est le chaos. Chaos de fer, d’étain, de rouille, de bouts de bois, de ronces, d’herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d’épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu’un, « ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains » ; « ce quelqu’un eût-il regardé par l’autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : ce sont des saints, des anges et des martyrs », et ce serait revenu au même. »

Rue de la Sardine / John Steinbeck

ESMÉE A PERDU SES MAÎTRES



Fiction - Court métrage - En post-production






Réalisation : Clara Bonnet
Scenario :
Clara Bonnet






Esmée, douze ans, est l’aînée d’une famille fraîchement recomposée. Aujourd’hui on a fête l’anniversaire de sa mère, pourtant elle commence à détester les dimanches et leurs promesses d’identiques lundis. La vie sera-t-elle toujours si calibrée ? Elle voudrait faire dérailler la machine. Alors pendant que sa mère prend son bain, Esmée fouille discrètement dans le tiroir à médicaments.




Avec : Lou Bennett, Paulin Lassale-Capitan, Léo Marguet, Anna Cuzin, Tom Linton et Manon Kneusé
Productrice : Marie Lesay
Assistante de production :
Vera Mechid-Huin
Assistante réalisatrice :
Bénédicte Faure
Second assistant réalisatrice :
Alice Nouvel
Scripte :
Anais Corno et Aliénor Sulpicy
Image :
Anna Sauvage, Diana Hegazy et Augustin Bonnet

Lumières : Louis Huguenin-Dezot et Clémentine Barbara
Machinerie :
Toumaï Tuihaamouga
Son :
Arnold Zeilig, Clara Malus et Adrian Van’t Hoog
Costumes :
Mathilde Perrussel
Habillage : Julie Macqueron
Maquillage / Coiffure : Marine Soulié
Décors et accessoires : Sophie Guichard, Julie Preud’Homme, Constance Duchange et Illona Brunaud 
Régie / Cantine  : Ferdinand Garceau et Zacharie Zeilig