« La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c’est un poème ; c’est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c’est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c’est de la nostalgie, c’est du rêve. La Rue de la Sardine, c’est le chaos. Chaos de fer, d’étain, de rouille, de bouts de bois, de ronces, d’herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d’épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu’un, « ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains » ; « ce quelqu’un eût-il regardé par l’autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : ce sont des saints, des anges et des martyrs », et ce serait revenu au même. »

Rue de la Sardine / John Steinbeck

ASSIS, PAS BOUGER !



Fiction - Court métrage - En développement



Soutien de la Région Nouvelle Aquitaine


Soutien du département des Landes





Prix CNC du meilleur projet de court métrage au Festival WIPP





Scenario et réalisation : Camille Dumortier

Zoé, neuf ans, délaissée par une mère psychologiquement fragile, trouve refuge auprès de Gouache, sa chienne qu’elle tente de dresser et de Betty, une voisine qui déborde d’amour à donner. Ensemble, elles s’évadent pour un parcours d’agility, un sport canin. Entre deux obstacles, elles font une découverte inattendue et décident de garder le secret.