« La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c’est un poème ; c’est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c’est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c’est de la nostalgie, c’est du rêve. La Rue de la Sardine, c’est le chaos. Chaos de fer, d’étain, de rouille, de bouts de bois, de ronces, d’herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d’épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu’un, « ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains » ; « ce quelqu’un eût-il regardé par l’autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : ce sont des saints, des anges et des martyrs », et ce serait revenu au même. »

Rue de la Sardine / John Steinbeck

AMSTERDAD



2024 - 17 minutes






Réalisation : Augustin Bonnet
Scenario :
Anton Balekdjian et Augustin Bonnet






Lors d’un week-end raté à Amsterdam, William, seul dans la vie, se fissure sous les yeux de son fils Walter. L’amour, avec l’aide d’une guide touristique, se fraiera t’il un chemin entre les deux hommes ?




Avec : William Holzer, Walter Holzer, Scarlet Tummers et Clara De Ro

Produit par : Rue de la Sardine et Augustin Bonnet
Productrice : Marie Lesay
Directrice de production :
Vera Mechid-Huin
Image :
Pauline Doméjean

Son : Arnold Zeilig et Paul Guilloteau
Montage  :
Charlotte Cherici

Assistants montage : César Simonot et Johan Piechaczyk
Montage son :
Saoussen Tatah
Mixage :
Thibault Macquart
Costumes :
Lucille Balézeaux
Retakes :
Elio Balézeaux, César Simonot, Eliott Chabanis, Tom Brumelot
Étalonnage :
Emmanuel Fraisse
Affiche : Lily Bonnet